La bataille fait rage dans le segment des utilitaires légers. Après VW et son Caddy aux qualités de berline et soute de cargo, Renault revoit de fond en comble son Kangoo. Au programme: une modularité inédite et une large palette de propulseurs. Parmi les nouveautés inaugurées sur le nouveau Kangoo, l’option «Sésame, ouvre-toi». Grâce à la suppression du montant B du côté droit et l’escamotage du siège passager dans le plancher, l’espace ainsi dégagé atteint 1,45 m. De quoi charger de longs objets de 2 à 2,5 m avec une facilité enfantine, même dans les endroits les plus exigus.
Sinon, le nouveau Kangoo est disponible en deux longueurs de châssis, pour des volumes de chargement de 3,3 à 4,9 m3. Dès le lancement en juin, prennent place sous le capot deux bloc essence de 100 et 130 ch ainsi que trois diesel de 75, 95 et 115 ch. Une mouture électrique de 75 kW (102 ch) et une autonomie d’environ 265 km suivra au début 2022. Le nouveau Kangoo fait en outre le plein d’assistances, avec pas moins de 8 dispositifs de sécurité active.
Enfin, l’appellation «Express» renaît de l’oubli. Il s’agit en fait du Dacia Dokker, qui quitte la marque low-cost pour se muer en entrée de gamme chez Renault. Il propose un volume de chargement entre 3,3 et 3,9 m3 et embarque les blocs essence de 100 ch et diesel de 75 et 95 ch.
Marc Devion